Lancement de la dynamique de Fondations de l’Université Nice Sophia Antipolis

 La dynamique de fondations, c’est une fondation universitaire, généraliste, et plusieurs fondations partenariales, thématiques. L’objectif est de placer l’UNS au coeur du tissu économique des Alpes-Maritimes.

 La première à être lancée est la fondation partenariale Jmagine qui donne le coup d’envoi de cette nouvelle dynamique.
Jmagine est spécialisée sur les plate-formes de services numériques « mobiquitaires » (mobilité et ubiquité), elle a pour but de créer un levier pluridisciplinaire en matière d’innovation et de
recherche.

 Présents auprès d’Albert Marouani, les Présidents des 3 entreprises fondatrices de Jmagine officialisent leur soutien et présentent les prototypes de services innovants :
 RoboDomo avec Covéa Tech’ : développé depuis près de 2 ans, RoboDOMO est un assistant personnel à domicile high-tech destiné aux personnes âgées ou à mobilité réduite.
 Campus Nova avec le Crédit Agricole : c’est un concept original de Porte-Monnaie Electronique (PME) sur téléphone mobile contenant, notamment, deux fonctionnalités innovatrices : L’échange de monnaie de Personne à Personne entre les 2 mobiles (le P2P) / le paiement de Personne à Commerçant dans les mêmes conditions (le P2M).

 Les affiches tactiles et communicantes avec Amadeus : il s’agit de la création d’une plate-forme conviviale permettant de déployer des espaces culturels interactifs intelligents dont les affiches pourront communiquer avec des téléphones mobiles par
l’intermédiaire de tags.

 Avec ces projets, l’Université Nice-Sophia Antipolis affiche ainsi une nouvelle dynamique en faisant participer les acteurs économiques aux grandes orientations de l’université.
Elle conforte son ancrage dans le tissu économique départemental.

 La Fondation a donc pour but d’associer les acteurs publics et privés aux projets de l’université afin de :
• développer l’innovation et la création d’entreprises ;
• soutenir et promouvoir la recherche d’excellence ;
• optimiser l’insertion professionnelle des étudiants en adaptant certains diplômes ;
• accroître la reconnaissance et l’attractivité internationales de l’UNS ;
• favoriser la mobilité internationale des étudiants.

 Encouragés par les remarquables possibilités de défiscalisations, la Fondation Universitaire Nice- Sophia Antipolis offre la possibilité aux entreprises, institutionnels, anciens étudiants comme à
l’ensemble de la population de devenir donateurs.
 En phase avec les problématiques locales présentes, l’UNS travaille actuellement à la création de sa seconde fondation thématique « Environnement et Développement durable » et s’inscrira dans le grand projet « Eco-vallée », l’axe de développement de la future CUNCA (Communauté urbaine Nice Côte d’Azur). Elle verra le jour d’ici cet été.

Jmagine : Première fondation partenariale de l’Université Nice-Sophia Antipolis

 Création : Signature des statuts le 05/12/08
 Budget prévisionnel : 3 millions d’euros
 Directeur scientifique : Professeur Serge Miranda
 En savoir plus : www.jmagine.org
 Jmagine sera la première fondation partenariale créée par l’Université Nice-Sophia Antipolis dans le cadre de la loi Pécresse du 10 août 2007 portant sur l’organisation de la nouvelle université - communément appelée “Loi sur l’autonomie des Universités”.

  Les fondateurs de la Fondation Jmagine

 3 entreprises fondatrices :
 Laurent TOLLIE, Président Directeur Général de
Covéa Tech’ (Groupement de Mutuelles : MMA / GMF et MAAF)
 Philippe BRASSAC, Directeur Général du Crédit
Agricole Provence Côte d’Azur
 Jean-Paul HAMON, Président Amadeus SAS, Executive Vice President Development

 Les principales entreprises donatrices :
Véolia Eau - Véolia Transports - Extelia - Monext - SFR - Orange - Decaux
Les fondateurs s’engagent auprès de Jmagine pour une durée minimale de 5 ans. Les donateurs quant à eux intègrent la fondation partenariale pour une durée d’un an.

 Jmagine : ses objectifs
La Fondation partenariale Jmagine vise à développer des projets pilotes pluridisciplinaires en matière d’innovation et de recherche sur la « MOBIQUITE » (mobilitié et ubiquité).
Les étudiants de master MBDS, le directeur du master (Serge Miranda), leurs professeurs et des ingénieurs oeuvrent ensemble sur les projets - abrités par la fondation - dans plusieurs
secteurs économiques importants de notre futur numérique :
 l’environnement et l’économie solidaire,
 le voyage et le tourisme,
 l’aide aux personnes âgées à domicile,
 le campus numérique, la ville numérique et les services de m-paiement (paiement par mobile).
Les professeurs, 5 ingénieurs à plein temps et 24 étudiants du master MBDS travaillent à
inventer le futur des services et des usages autour du téléphone mobile devenu un véritable
ordinateur (les « musages »). En fonction des projets abordés, les étudiants de différents
masters de l’Université Nice-Sophia Antipolis rejoindront la Fondation Jmagine.
En ce qui concerne le master MBDS : classé parmi les 10 meilleurs masters informatiques
de France (classement SMBG 2008)
Le MBDS (Multimédia, Bases de Données et intégration de Systèmes) est un master français en
technologie de l’information et de la communication de l’Université Nice-Sophia Antipolis (UNS).
Son objectif est le prototypage des applications multimédia sans fil du futur sur les architectures
n-tier.
Le master MBDS est unique en Europe par son modèle économique de l’innovation avec son
centre avancé de prototypage construit entre l’éducation et l’industrie via des « PROJETS
contractualisés et tutorés ». MBDS a été déployé également au Maroc, en Haïti et en Russie.
Dans le cadre de MBDS, plusieurs premières mondiales de services innovants ont été réalisées
dans différents domaines :
 Des voitures communicantes - Donateurs : Mercedes, Renault, Citroën, Navteq, etc.
 De la maison numérique - Donateurs : CSTB, GDF, Veolia
 De l’assistance aux personnes âgées/santé - Fondateurs et donateurs : Covéa Tech’, Medasys,
Coronis, Hôpital de Nice/CHU
 Du m-paiement - Fondateurs : Crédit Agricole
 Des voyages - Fondateur : Amadeus

Jmagine : Des projets innovants

 Le projet RoboDOMO : le robot qui assiste les personnes âgées chez elles.

RoboDOMO est développé en partenariat avec Covéa Tech’. Véritable assistant du futur,
l’ambition de RoboDOMO est de devenir le lien social incontournable entre les personnes âgées
et l’extérieur. Conçu par les chercheurs de l’Université Nice-Sophia Antipolis, RoboDOMO est un
concentré de technologie alliant à la fois internet, télécom, informatique et vidéo.
Ce PC mobile comprend un bouquet de services innovants intégrant des objets communicants
(capteurs de chute, tensiomètre, contrôle de médicaments identifiés, etc.).
Pour combattre l’isolement des personnes âgées, RoboDOMO a également été conçu pour
apporter une fonction d’assistance à la gestion quotidienne des évènements (fonction
de veille spontanée, contrôle de normalité, assistance physique à la prise en charge sanitaire et
sociale –fonction de « garde-malade »).
RoboDOMO reconnaît l’environnement de l’habitat et se déplace de manière autonome dans la
maison. Il peut être piloté par une télécommande Bluetooth, via une interface web ou via un
téléphone 3G. Grâce à des capteurs embarqués (bruits de présence, de fumée, de dégât des
eaux), il présente un large choix de fonctionnalités de télésurveillance.
Enfin, la personne peut utiliser RoboDOMO comme simple ordinateur pour ses propres loisirs.
L’assistant propose en effet l’échange de messages multimédias avec la famille, de la musique,
des films, des jeux, des albums photos.
Cet assistant du futur est le plus abouti en France et constitue un vrai pari pour l’avenir dans
la prise en charge de la dépendance. De nouveaux partenariats ont été conclus avec l’Université
de Stanford (SRI) pour la cartographie, la modélisation d’un appartement SimplySim (start-up
de Sophia Antipolis sur la simulation 3D) et le CHU de Nice afin d’intégrer des programmes
complémentaires.
Dès la fin 2009, 5 RoboDomo seront en test au CHU de Nice. Une centaine de
personnes pourraient être équipées à moyen terme.

 Le projet CAMPUS NOVA

Campus Nova est né d’un partenariat entre le Crédit Agricole, l’Université Nice-Sophia Antipolis
(UNS) et IBM, en vue de monter un pilote autour d’une application de paiement par téléphone
mobile et d’un système de gestion d’accès en mode Sans-Contact.
La Caisse Provence Côte d’Azur, le Cedicam et Monecam ont été les principales entités du Crédit
Agricole impliquées dans le développement de ce projet, la Direction des Moyens de paiement
Groupe pilotant l’ensemble du projet.
Sur le plan fonctionnel, Campus Nova peut être comparé à Moneo sur mobile (porte-monnaie
électronique interbancaire sur carte) et peut être positionné par rapport à d’autres projets tels
que Pegasus (projet interbancaire qui virtualise la carte bleue dans le mobile).
Campus se distingue des projets cités sur les points suivants :
• il permet l’échange et le paiement de monnaie entre mobiles,
• c’est un projet du Crédit Agricole, le logiciel développé appartient à Fireca,
• la maîtrise du code est totale ce qui rend possible une adaptation rapide :
o aux futures architectures des mobiles (dans la carte SIM, hors carte
SIM, etc.) ;
o aux différents modes de communication entre mobiles (tags NFC,
sonores, visuels) ;
o aux différents modes de paiement (tout montant, à distance, etc.).
Campus Nova cherche donc à réunir sur un téléphone mobile un grand nombre de services
novateurs pilotables par une plate-forme de téléchargement dite OTA (pour Over-The-Air), tout
en restant indépendant des opérateurs.
Ce projet a donné lieu à un pilote de 6 mois durant lesquels 20 étudiants de l’Université de
Nice-Sophia Antipolis ont utilisé des téléphones NFC pour payer leurs repas au restaurant
universitaire Hélios de Sophia-Antipolis, pour s’échanger de l’argent et accéder aux salles de
cours du master MBDS.
Jeremy Belostock de NOKIA a parlé du projet Campus NOVA en septembre 2008 : « ... comme
une expérience unique, la plus aboutie en matière de paiement sur NFC […] dans le monde
[…] » et il se demandait « […] pourquoi le Crédit Agricole n’occuperait pas le terrain en
attendant pour se faire sa courbe d’expérience […] ».

  Les affiches tactiles et communicantes

Ce projet est né d’un partenariat avec Amadeus. Il repose sur le développement d’une plateforme
conviviale permettant de déployer des espaces culturels interactifs intelligents dont les
affiches pourront communiquer avec des téléphones mobiles par l’intermédiaire de tags. Ainsi
taggés, ces posters, placés par exemple dans des abribus, permettent de recevoir ou produire
(mobile 2.0) avec son téléphone mobile personnel des informations multimédia (vidéo clip,
cartes, etc.).
Un service géo localisé de guidage sur le chemin culturel, historique ou communautaire 2.0
(mes amis) est également proposé avec différentes options.
En 2009, un projet sera déployé dans le Vieux Nice et le MAMAC dans le cadre du projet
« NICE, ville numérique et Nice VILLE NFC » lancé en septembre 2009.
La vitrine intelligente
La vitrine intelligente est une vitrine classique équipée de capteurs. Elle devient ainsi tactile ou
"impactile" c’est-à-dire activable par de légers chocs portés avec l’ongle, un stylo, une clé, etc.
Ces petits impacts permettent de pointer au centimètre près n’importe quel objet situé sur la
vitrine. L’extraordinaire sensibilité de la dalle lui permet également de réagir à la voix. Il est
ainsi possible de laisser des messages vocaux, la vitrine jouant le rôle de microphone. Elle peut
également fonctionner comme un haut-parleur et ainsi parler.
Les applications sont nombreuses. Elles touchent les vitrines de magasins (agences
immobilières, de voyages, de biens d’équipement, de services, etc.), la muséographie, les tables
de restaurant, les instruments de musique programmables, le mobilier urbain (plans de quartier,
p u b l i c i t é interactive grand format) et, en règle général, toute activité dans
laquel l e un consommateur cherche à s’informer directement ou
indirectement, dans une salle d’attente par exemple.
La démonstration réalisée le 5
décembre 2008, trois affiches des
assurances GMF, MAAF et MMA sont présentées
derrière une vitrine.
Lorsqu’un passant touche une
affiche, la vidéo de publicité
associée se lance automatiquement
dans un écran situé derrière la
v i t r ine de devanture. Si l’utilisateur retouche cette même
affiche et que, sur son téléphone, le Bluetooth est activé, il pourra ainsi recevoir la vidéo de la
publicité. Voir : http://www.youtube.com/watch?v=KhNS...
 !

 Jmagine : les entreprises fondatrices
Pourquoi ils s’engagent

 1. Covéa Tech’

« Pour le groupe Covéa et les mutuelles GMF, MAAF et MMA qui le composent,
la dépendance est un véritable enjeu sociologique, démographique, mais aussi
économique. Le projet RoboDOMO soutenu par Covéa Tech’ est d’autant plus
important qu’il permet de s’impliquer de façon concrète dans le développement
de la formation, de la recherche pluridisciplinaire et de l’innovation des services
dans le domaine très important à nos yeux : celui des personnes à mobilité réduite et des
personnes âgées isolées et celui du service à la personne. »
Au delà de l’implication citoyenne, Covéa Tech’, partenaire de la fondation Jmagine, ébauche un
centre de veille technologique unique en France sur les services du futur d’aide à la personne,
souligne Laurent Tollié, président de Covéa Tech’.
Contacts presse Covéa Tech’ :
Marie-Pierre MICHEL - Tél. 01 53 10 63 57 / Sophie BAGDIKIAN – Tel. 01 53 10 65 12

 2. Crédit Agricole Provence Côte d’Azur

L’implication du Crédit Agricole Provence côte
d’Azur au sein la Fondation Jmagine a trois raisons
majeures :
« Nous avons pour ambition première de conserver, renforcer, les liens privilégiés entretenus
avec nos clients des Alpes-Maritimes, du Var et des Alpes-de-Haute-Provence. S’impliquer dans
la Fondation Jmagine, c’est servir cette ambition.
L’expansion des Nouvelles Technologies d’Information et de Communication est fulgurante, en
particulier dans notre région ; leurs développements voient des applications concrètes dans le
secteur bancaire et c’est une nouvelle raison de l’implication de Crédit Agricole PCA dans la
Fondation.
Enfin, nous sommes tournés vers l’avenir. Nous voulons construire résolument, et durablement,
le monde de demain en aidant les jeunes, futurs constructeurs de l’avenir économique et social
de la région. Depuis toujours, nous leur apportons notre soutien sans faille. Notre présence au
sein de la Fondation Jmagine en est encore un témoignage. »
Contact Crédit Agricole Provence Côte d’Azur : M. MAURY – Tél. 04 93 14 87 04

 3. Amadeus

Amadeus est devenu en 20 ans, un acteur majeur de
l’industrie du voyage.
Leader incontesté de la réservation (1er GDS au monde), le
groupe s’impose à présent comme l’une des entreprises les plus
innovantes en matière de solutions technologiques pour cette
industrie.
Notre centre mondial de développement produit est implanté à Sophia Antipolis, il compte plus
de 2 200 ingénieurs, dont 60% de développeurs informatiques qui se consacrent au cycle de
développement technologique. Le groupe mondial est présent sur les cinq continents et emploie
plus de 8 500 personnes.
Derrière cette réussite, des choix stratégiques et des investissements permettant d’optimiser ce
souffle de créativité. Pour soutenir ces besoins, nous mettons en place des partenariats
académiques avec les Grandes Ecoles et Universités européennes, dont bien sûr l’UNS.
A ce titre, un partenariat de veille technologique sur les services du futur, que nous
regroupons sous le nom générique de projets Mostra, a été initié en 2002 entre le master MBDS
(www.mbds-fr.org) de l’Université de Nice Sophia Antipolis et Amadeus. Ce partenariat a abordé
ces dernières années la thématique de l’innovation autour du standard NFC (Near Field
Communication) appliqué au téléphone mobile. Des stagiaires de l’UNS ont accompagné nos
recherches et prototypages sur ce sujet.
Pour aller plus loin encore dans ce rapprochement avec l’UNS et parce que nous mettons un
point d’honneur à contribuer au rayonnement de Sophia-Antipolis et à soutenir les
acteurs locaux importants, nous avons décidé de soutenir l’initiative et de nous associer à
l’Université pour créer la Fondation Jmagine.

La Loi de Réforme des Universités : Rappels

 Tous acteurs de la réforme… Extrait « Les clés de la nouvelle réforme des universités » - Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche – Septembre 2007 Texte de la loi (J.O.
1 8 5 d u 1 1 a o û t 2007, page 13468
texte n°2)

Le texte de la loi
relative aux libertés et
responsabi l i tés des
universités est publié
au Journal Of f iciel
numéro 185.

 Fondation universitaire / fondation partenariale : décryptage
La loi Pécresse, votée en août 2007, permet aux universités d’acquérir une réelle
autonomie en matière de gestion de moyens, de recrutement des personnels et à
terme, de gestion du patrimoine immobilier.
Les fondations constituent un mode de financement complémentaire permettant aux
universités de recourir au mécénat des entreprises et des particuliers.
Deux nouveaux types de fondations spécialement dédiées aux universités ont été
créés par la loi relative aux libertés et responsabilités des universités du 10 août 2007 : les
fondations universitaires et les fondations partenariales.
Ces deux fondations ouvrent droit, pour les donateurs, aux réductions d’impôts prévues
pour les versements faits aux fondations reconnues d’utilité publique :
 Pour les entreprises : 60 % du montant des versements dans la limite de 5 pour mille
du chiffre d’affaires,
 Pour les particuliers : 66 % du montant des versements dans la limite de 20 % du
revenu imposable,
 Pour les redevables de l’ISF : 75 % du montant des dons dans la limite de 50 000
euros.
Les fondations universitaires, non dotées de la personnalité morale, sont créées, sans
dotation minimale, par délibération du Conseil d’Administration de l’établissement. Elles sont
gouvernées par un conseil de gestion composé de représentants de l’établissement, des
fondateurs, de personnalités extérieures et qualifiées et, le cas échéant, de donateurs. Elles
sont destinées aux projets généraux de l’université (bourses, chaires, mobilité internationale …)
Les fondations partenariales sont souvent adossées à un projet particulier et sont dotées de
la personnalité morale. Elles sont créées pour une durée déterminée, qui ne peut être inférieure
à 5 ans et avec une dotation minimale de 150 000 euros. L’établissement dispose
automatiquement de la moitié des sièges du conseil de gestion.

Université Nice Sophia-Antipolis (UNS) : fiche d’identité

 Etablissement public à caractère scientifique et technologique
 43 années d’existence
 Dirigeant : Albert MAROUANI, Président de l’Université
 Budget annuel (2008) : 206 millions d’€
Chiffres clés
 L’Université de Nice-Sophia Antipolis, implantée sur tout le département des Alpes-Maritimes,
accueille 25 820 étudiants (rentrée 2007-2008) répartis dans 8 unités de formation et de
recherche, 2 instituts et 2 écoles dont l’Ecole Polytechnique Universitaire (Polytech’ Nice) et
l’IUFM depuis le 1er janvier 2008.
 L’Université Nice-Sophia Antipolis c’est
 239 formations diplômantes hors secteur santé
 9954 diplômes délivrés en 2006/2007
 11 campus principaux
 36 implantations universitaires de Menton à Cannes
 305 242 m2 de surfaces dédiées à la recherche et l’enseignement
 1 200 postes de personnels enseignants, d’enseignants-chercheurs et de moniteurs
 227 postes Hospitalo-Universitaires
 789 postes de personnels de bibliothèque, ingénieurs, administratifs, techniques, ouvriers, de
service ou de santé.
 A propos de la recherche à l’Université Nice-Sophia Antipolis
Evoluant dans une région riche d’une technopôle, de laboratoires et d’entreprises de pointe,
l’UNS fait de la Recherche une de ses missions majeures. L’UNS est lancée dans une politique
active de valorisation de la recherche avec plus de 83% de publiants chez les chercheurs
et enseignants-chercheurs.
 En chiffres… 116 équipes de recherche et plus de 35 laboratoires associés à de grands
organismes de recherche (CNRS, INSERM, INRA, CEA, ...), l’UNS dispose, pour l’année
2006-2007, de :
 62 unités de recherches reconnues par le ministère
 6 écoles doctorales
 2 Instituts Fédératifs de Recherche (IFR)
 9 Programmes Pluri Formation (PPF)
 25 équipes d’accueil
 3 jeunes équipes
 1 Maison des Sciences de l’Homme
 1 plate-forme Agrobiotech
 197 thèses soutenues en 2007
 1 348 doctorants