19 novembre 2025
Un projet discret mais fondamental, symbole d’un engagement profond pour le vivant, la mémoire locale et la cohésion sociale.
Ainsi, François de Canson a placé cette inauguration sous le signe du sens et de la simplicité : « Il y a des journées où la politique retrouve son sens le plus noble : celui d’agir pour la vie des gens, avec intelligence, avec simplicité, avec constance ».
À travers ce verger, il a rendu un hommage à Robert Beneventi, maire d’Ollioules, soulignant la clarté de son projet municipal, guidé par une vision cohérente et une volonté constante de servir l’intérêt général : « À Ollioules, rien n’est laissé au hasard », a-t-il insisté.
Ce verger n’est pas un simple aménagement paysager. C’est l’âme d’une commune qui croit encore à la proximité, aux lieux de tradition, à la beauté du lien social.
Dans un monde saturé de bruit et d’agitation, François de Canson a salué la modernité à investir dans le silence, la paix, l’ombre des arbres : « Offrir à la population des espaces publics qui ne soient pas des zones d’attente, mais des lieux de valorisation et de lien, tel est l’objectif poursuivi avec méthode et humilité. Ce que vous réalisez ici mérite d’être salué. Vous êtes de ces élus qui ne cherchent ni les projecteurs ni les raccourcis, mais qui choisissent le chemin exigeant de l’action concrète, durable et partagée ».
Ce projet incarne la vision régionale : « donner de la puissance à ce qui est juste. La Région Sud se veut résolument proche du terrain, soutenant des actions locales utiles, sincères et structurantes. Il n’y a pas de petit projet, pas de petite mémoire. Le local, c’est l’universel à portée de main ».
Dans un contexte où la centralisation fragilise souvent les territoires, François de Canson a réaffirmé son attachement à « la République du réel où les communes sont nos premières lignes. Ce jardin que nous ouvrons aujourd’hui n’est pas simplement un espace vert. Il est l’expression silencieuse d’un territoire qui croit encore à l’avenir ».
Au-delà du verger, c’est une certaine idée du service public qui s’exprime à Ollioules.
« Une géographie du quotidien redessinée avec ambition, au service d’un territoire « enraciné, ouvert, tourné vers la vie. Poursuivons ensemble ce travail patient et utile. Continuons à construire des territoires à hauteur d’homme », a conclu François de Canson.
Gilles Carvoyeur