Sarah BELLIER est nommée directeur général de l’EPA Nice Écovallée


Nominations


24 mars 2021

Directeur général adjoint de l’Établissement Public d’Aménagement (EPA) Nice Écovallée depuis 2018, Sarah Bellier assurait la direction générale par intérim depuis le départ d’Olivier Sassi en juin 2020. Elle a été nommée Directeur général par arrêté de la Ministre de la Transition écologique le 24 mars 2021.

Juriste de formation, titulaire d’un Mastère en management stratégique des
ressources humaines - HEC, Sarah Bellier, 47 ans, rejoint le secteur de
l’aménagement après diverses expériences de cadre dirigeant dans le secteur
public : d’abord Directeur des Ressources Humaines puis Secrétaire Général de Côte d’Azur Habitat, elle a ensuite été Directeur Adjoint d’Approlys Centr’Achats (centrale d’achat territoriale) et Directeur Général des Services adjoint du Conseil Départemental d’Eure-et-Loir entre 2010 et 2018. Elle occupera désormais le poste de Directeur Général de l’EPA Nice Écovallée.

Pour Sarah Bellier « La vie est en train d’éclore dans les nouveaux quartiers de l’Écovallée. A Nice Méridia et au Grand Arénas, les habitants, les entreprises, les salariés, les étudiants, les commerces et services s’installent et viennent animer ces espaces autrefois déqualifiés. L’Opération d’Intérêt National est entrée dans sa phase opérationnelle active et a déjà généré plus de 900 millions d’euros d’investissements privés. Le projet Nice Écovallée, qui participe à la mutation d’ensemble de la Métropole Nice Côte d’Azur, doit relever des défis formidables : engager une transformation en profondeur de la structure économique du territoire, de ses modes de déplacements et d’habitat, pour attirer les entreprises et garantir une grande qualité de vie à tous. L’EPA entend pleinement jouer son rôle dans le cadre de la relance économique et a ainsi, depuis l’été 2020, déjà lancé des consultations sur trois îlots et prévoit trois nouvelles consultations d’ici la fin de l’année. Ces nouveaux projets, qui attestent des avancées opérationnelles de l’Écovallée, intègreront les enseignements tirés de la crise sanitaire pourparticiper à la construction de la ville de demain. L’EPA s’attache en effet à mener des opérations plus sobres (en foncier et en énergie notamment), à prendre en compte les risques naturels et climatiques pour des opérations
résilientes, à favoriser l’inclusion grâce à la mixité sociale mais aussi fonctionnelle qui permet de limiter les déplacements contraints, et surtout à prendre part à la construction de la ville productive, créatrice de valeurs et d’emplois, pour contribuer à la transition écologique.
 ».


Valérie Noriega