La Caisse d’Épargne Côte d’Azur va éteindre toutes ses enseignes lumineuses


Environnement


28 septembre 2022

Plus de 70 agences soit un peu plus de 50% du réseau d’agences CECAZ participent !

La Caisse d’Épargne Côte d’Azur se mobilise pour participer à l’effort national afin d’éviter de connaître une pénurie d’énergie cet hiver et de réduire l’empreinte carbone.

La Caisse d’Épargne Côte d’Azur (CECAZ) a, dès le 12 septembre, décidé de mettre en place l’extinction complète de ses enseignes. Cette action a déjà été mise en oeuvre au siège de Nice à l’Arénas et dans 50 % du réseau d’agences, dans le Var et les Alpes Maritimes. L’opération sera finalisée dans quelques semaines.
Concrètement, l’extinction de toutes les enseignes lumineuses durant un an permettra de couvrir la consommation annuelle totale d’une agence.

Des objectifs sont fixés

Le plan sobriété énergétique annoncé par le Gouvernement vise à réduire de 10 % la consommation d’énergie sur les deux prochaines années par rapport à 2019.
Cette annonce s’aligne avec la trajectoire de réduction de l’empreinte carbone, inscrite dans le Plan d’Orientations Stratégiques 2022/2024 de la CECAZ mais également du groupe auquel elle appartient : BPCE vise une réduction de 15% de son empreinte carbone à horizon 2024.

Plusieurs actions concrètes ont déjà été mises en place au sein de la CECAZ
La CECAZ gère 150 sites soit 50 000 m² de planchers d’exploitation. Depuis plus de 10 ans, elle se défait de ses anciens bâtiments pour se concentrer sur des sites d’exploitation modernes, plus simples à rénover. En parallèle, elle améliore la performance énergétique de ses bâtiments (isolation thermique, consommation d’énergie, pilotage des énergies à distance..) afin d’obtenir une étiquette énergétique B ou A.

L’empreinte carbone de la CECAZ se situe autour des 10 000 tonnes annuelles, dont 35% dus à la mobilité de ses 1600 collaborateurs. Plusieurs leviers sont activés pour la réduire notamment le basculement progressif de la flotte de véhicule en hybride et électrique, et le déploiement du télétravail, qui s’est accéléré suite à la crise sanitaire.


Valérie Noriega