Veni, vidi.. VITE DIT

Veni, vidi.. VITE DIT !

Retrouvez comme chaque début de semaine les échos de Jean-Michel Chevalier ! Il voit, il lit, il entend... il vous en parle !

- INSPIRATION : Alors que les plateformes téléphoniques ont un turn-over important de leur personnel, ce qui est le signe d’une grande insatisfaction des conditions de travail et de salaires, Convers Télémarketing de Nice a mis au contraire l’humain au centre de son projet d’entreprise. Et ça marche si bien que Muriel Penicaud, ministre du Travail, a invité son PDG Philippe de
Gibon à venir lui souffler ses bonnes "recettes".

- PASSION THÉÂTRE  : En sportif accompli, Benjamin Mondou (Lafarge Transactions) a su convaincre de nombreux chefs d’entreprises à le rejoindre dans l’association "Passionnément TNN". Qui a pour but de soutenir la scène niçoise, d’inciter le public à pousser les portes du grand bâtiment pour découvrir la programmation. Elle a aussi aidé à financer la pièce "La tempête" qui sera jouée prochainement. Des jeunes des quartiers et des publics en difficulté sont invités par l’association à des représentations. Chapeau !

-  GARE !  : Douche froide, au sens propre comme au figuré, pour les usagers du TER entre Grasse et Nice qui sont restés en "rade" dans la gare pour cause d’intempéries le jour même de la réouverture de la ligne. Les "naufragés" ont écrit au directeur régional de la SNCF pour que des dispositions soient prises afin que les nouvelles rames puissent circuler... même en cas de pluie.

- EN FORME  : La justice, c’est souvent du sport... La Cour d’Appel d’Aix a organisé un tournoi de cohésion pour les magistrats, fonctionnaires et contractuels, remporté haut la main par l’équipe du TGI de Grasse. Bravo !

- CHÈRES ÉTUDES : Selon les calculs de Bernard El Ghoul, directeur de Sciences Po Menton, un étudiant de son établissement dépense en moyenne 10 000€ par an (hors frais de scolarité), une grande partie de ce budget étant absorbé par le logement.

- AIRBNB : La plateforme fait une sérieuse concurrence à l’hôtellerie traditionnelle, disposant de davantage de chambres en Paca que les hôtels. "Il y a un travail de contrôle et d’encadrement à faire" estime Mathieu Messina du syndicat UMIH "mais le phénomène étant nouveau, il faut laisser le temps aux parlementaires pour légiférer".

Photo de Une : cette dame pique du nez devant son journal, les nouvelles sont a priori assommantes ! (ML)

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