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A La Croix-Valmer, ’Contrôle Hygiène et Qualité’ pour la cantine scolaire

Récompensé pour le niveau de l’hygiène et la qualité des aliments servis aux élèves et de son service, le personnel de la cantine scolaire peut être fier de cette distinction !

Poursuivant ses efforts vers une meilleure alimentation, la cantine scolaire s’est adaptée à la crise sanitaire, s’inscrivant dans l’agriculture dite raisonnée. Dernièrement, Mérieux NutriSciences, laboratoire indépendant, a audité la cantine, analysant des échantillons de repas destinés aux écoliers, les pratiques d’hygiène du personnel, les fournisseurs de denrées, la traçabilité, et la remise des aliments.

SECURITE ALIMENTAIRE

Ainsi, la certification ’Contrôle Hygiène et Qualité’ a été délivrée, ce qui garantit aux parents la sécurité sanitaire des aliments et l’hygiène de l’établissement.

« Depuis longtemps, le restaurant scolaire porte une attention à la qualité des produits et aux circuits où il s’approvisionne. De plus, nous veillons à ce que chaque enfant se nourrisse correctement, gage de bien-être physique en classe. Nous travaillons également à la sécurité alimentaire et luttons contre le gaspillage », rappelle Annie Chiattella-Doiteau, responsable des affaires scolaires.

L’élue ajoute : « La loi Égalim impose un repas par semaine sans viande. C’est un vrai casse-tête pour définir les menus. On a constaté que les légumes secs ont un apport en protéines important. Les lentilles sont utilisées pour la sauce bolognaise qui est le plat végétarien préféré des enfants. Le soja est aussi un secours précieux pour agrémenter les repas ».

Avec un adulte pour 12 enfants, le personnel municipal est en nombre suffisant pour gérer le temps des repas à la cantine. Il intervient dès qu’un enfant refuse un plat, l’invitant à le goûter. En insistant, 3 fois sur 4, l’enfant accepte finalement de le manger. Le personnel apprend aussi aux enfants à couper leur viande, et n’hésite pas à changer un enfant de place s’il souhaite déjeuner avec ses copains.

Linda Tribet, adjointe municipale, conclut : « A ce jour, le bio a progressé de 20% dans la conception des repas, souvent à partir de produits issus de producteurs français. Depuis janvier, 50% des produits sont également fournis par l’agriculture raisonnée ».

Photo DR.

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