Legapass optimise son interface de coffre-fort de patrimoine numérique

Legapass, propose à ses clients un coffre-fort hors-ligne, permettant de sécuriser l’ensemble de leurs codes confidentiels (donnant accès aux : espaces de stockage, photos, réseaux sociaux, boites mails, services en ligne, smartphones et ordinateurs ou même cryptomonnaies, etc.). Protégés par une cryptographie de niveau militaire et conservés en France sur un espace de stockage déconnecté ils seront hors d’atteinte des hackers et autres pirates informatiques. Toutes ces données ainsi sécurisées, pourront être récupérées à tout moment par leur propriétaire, en cas de sinistre, ou par ses héritiers, grâce à un processus de retransmission fiable et réalisé sous le contrôle d’un huissier de justice.

Sa nouvelle interface propose une toute nouvelle expérience où l’utilisateur est pris en charge dès son inscription et cela jusqu’au processus de restitution. Un tutoriel a même été mis en place pour aider les nouveaux utilisateurs à démarrer plus facilement. De plus, de nombreuses suggestions et recommandations basées sur les plus populaires apparaissent au fur et mesure de son avancée pour le guider. Une campagne de test grand public sera lancée dans les prochains jours, lui permettant de récolter des retours, se plaçant ainsi dans une démarche d’amélioration continue, conforme aux attentes de ses utilisateurs.

Depuis son lancement en avril dernier, Legapass a recruté de nouveaux talents et a entièrement repensé son expérience utilisateur pour conquérir le grand public. Co-fondée à Nice en 2021 par 3 ingénieurs en informatique (Jean Charles Chemin, Adelina Prokhorova et Eric Maïda), la statup Legapass emploie déjà une dizaine de personnes autour de la métropole niçoise et elle ne compte pas s’arrêter là puisqu’elle recherche encore de nouveaux profils dans le développement, la cybersécurité et le marketing digital.
Sa levée de fonds en cours de finalisation lui permettra de préparer le futur sur des sujets comme la cryptographie post-quantique, le Métavers et le Web3.