Nouvellement élue Bâtonnie

Nouvellement élue Bâtonnier désigné au Barreau de Grasse, Me Catherine BECRET-CHRISTOPHE joue « collectif »

  • Par EDITEUR --
  • le 14 décembre 2012

Avec le soutien massif des avocats membres du Barreau de Grasse qui lui
apportent 67% des voix, Me Catherine BECRET-CHRISTOPHE est élue, le 14
novembre dernier, Bâtonnier désigné de l’Ordre des Avocats au barreau de
Grasse.

43 ans et déjà membre du Conseil de l’Ordre et du conseil d’administration de la
Carpa depuis de nombreuses années, Me Catherine BECRET-CHRISTOPHE cumule les
responsabilités avec succès. Avec ce nouveau mandat, l’avocate dispose d’un an
avant de revêtir à son tour l’habit de Bâtonnier du Barreau de Grasse le 01
janvier 2014. C’est donc aux côtés de Me Jonathan TURRILLO, actuel Bâtonnier, que Me
Catherine BECRET-CHRISTOPHE va affûter sa stratégie et développer son style.

Un parcours sans faille

Me Catherine BECRET-CHRISTOPHE prête serment d’avocat à la Cour d’Appel d’Aix en
Provence en 1994. Un an plus tard, elle ouvre son cabinet à Antibes où elle continue
aujourd’hui d’exercer. En 1995, elle entre à l’Union des Jeunes Avocats (UJA) qu’elle
présidera 3 ans plus tard.
Dès 2000, elle accède à ses premières fonctions au sein du Conseil de l’Ordre. Ainsi,
durant douze ans, Me Catherine BECRET-CHRISTOPHE cumule les fonctions (trésorier de
l’Ordre, Vice-Présidente de la CARPA, Présidente de la commission déontologie…) et siège
auprès de 7 bâtonniers.
Ce parcours dense et constructif lui permet ainsi de se faire une conception précise des
nécessités de l’Ordre, des orientations du Barreau, de la défense des intérêts et de
l’avenir de la profession.

Des valeurs fermement ancrées

Dès son plus jeune âge, c’est en tant que déléguée de classe qu’elle fait ses premières
armes pour défendre et représenter ses camarades à la « barre de l’école ». Étudiante,
puis jeune diplômée, elle s’investit au plan associatif en faveur de la sauvegarde du
patrimoine ou pour l’accompagnement des jeunes avocats notamment.
Mariée et mère de cinq enfants, Me Catherine BECRET-CHRISTOPHE ne relâche pas son
implication ; bien au contraire, elle s’investit toujours plus dans ses fonctions ordinales.
Ainsi, ses années passées au sein des organes du Barreau de Grasse ont accentué son
engouement pour le collectif et c’est sans doute ce qui fera son empreinte.

Les premiers pas dans la peau de Bâtonnier désigné

Lors de sa profession de foi, Me Catherine BECRET-CHRISTOPHE affiche un
positionnement clair. Dénonçant l’immobilisme institutionnel, elle affirme sa volonté de
transparence, de modernité et de solidarité constructive :
« Nous nous devons de faire entendre la voix de notre Barreau grâce à une réflexion
commune. Il est inconcevable pour moi que l’avenir de la profession soit dicté par nos
seules instances dirigeantes, souvent plus promptes à se protéger qu’à réfléchir de
manière constructive pour une conception moderne de la profession d’Avocat.
Si le futur est source d’inquiétudes, nous devons rester solidaires, car je pense
qu’ensemble nous pouvons lutter pour le rayonnement de nos activités. Je serai honorée
d’être le vecteur de ce combat collectif. »
Prompte aux questions de gestion et de financement, Me Catherine BECRET-CHRISTOPHE
s’attelle notamment à l’étude des questions sur la gouvernance, la tarification et l’action
de groupe.
En tant que futur Bâtonnier du 13ème Barreau de France, membre de la
Conférence des Cent, Me Catherine BECRET-CHRISTOPHE entend peser sur
l’évolution du métier d’avocat en se positionnant à l’avant-garde nationale.

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