"Le Covid de l'apocalypse

"Le Covid de l’apocalypse", premier roman de Philippe Granarolo

À La Garde, Philippe Granarolo a exercé les fonctions d’adjoint au maire en charge d’abord du sport, puis de la culture et de l’éducation, jusqu’en 2020, date à laquelle il a jugé préférable de laisser sa place à des plus jeunes.

En 2001, il avait créé le Café-Philo, qui a fonctionné sans interruption jusqu’en 2020, et dont les séances rassemblaient chaque mois plus d’une centaine de fidèles. Depuis vingt ans, il donne des conférences dans les Universités du Temps Libre de l’agglomération toulonnaise (Hyères, La Garde, Le Pradet, Sanary-sur-Mer et Ollioules), mais également au sein de l’Académie du Var où il occupe le 38ème fauteuil. Depuis 1993, il a publié une quinzaine d’ouvrages philosophiques, dont la moitié consacrée à Friedrich Nietzsche.

A l’occasion de la sortie de son premier roman, Philippe Granarolo, auteur prolifique et philosophe reconnu, répond aux questions des Petites Affiches du Var.

Spécialiste de Nietzsche, la philosophie, c’est la passion de votre une vie ?

Philippe GRANAROLO. Nietzsche a été sinon la passion, du moins l’une des grandes passions de ma vie. C’est un amour de jeunesse, puisque je l’ai découvert au cours de mes études universitaires. Quand j’ai passé le concours de l’agrégation de philosophie en 1970, Nietzsche était pour la première fois au programme du concours. Je lui ai consacré une thèse de Doctorat d’État en 1991, dont une partie a été reprise dans le premier livre que j’ai publié deux ans plus tard « L’individu éternel / L’expérience nietzschéenne de l’éternité » (Éditions Vrin, réédité en 2019). Il m’arrive de penser que c’est le meilleur livre sur Nietzsche que j’ai écrit. Peut-être aurais-je dû m’arrêter là ? Six autres livres ont suivi.

Avec « Le Covid de l’apocalypse », c’est un brûlant que vous abordez ?

PG. C’est une étrange histoire ! J’étais sur le chemin de la fiction depuis deux ou trois ans déjà. En mars 2020, alors que nous vivions le premier confinement, j’étais plongé dans l’écriture d’un roman historique dont j’ai dû arrêter du jour au lendemain la rédaction. Je me suis réveillé un matin avec le souvenir d’un rêve extrêmement précis : J’avais rêvé d’une fiction qui avait pour titre Le Covid de l’apocalypse. Dès mon réveil, je me suis précipité sur le clavier de mon ordinateur, et j’ai tapé le synopsis du roman. Il m’a fallu trois mois pour rassembler ma documentation, en particulier sur le plan biologique puisqu’il est question d’ADN et de laboratoires de génétique dans mon roman, pour dessiner mes personnages et choisir les lieux où se déroulerait mon scénario. Une fois ces éléments réunis, l’écriture fut très aisée ! En moins de trois mois, j’avais terminé la rédaction du livre.

A NOTER...

Où trouver le roman ?

"Le Covid de l’apocalypse" est disponible en version papier sur toutes les librairies en ligne, au prix de 15,90 €. Vous pouvez également le commander dans toutes les librairies. Des exemplaires sont disponibles au Tabac-Presse des Restanques du Thouar, Place des Jacarandas, à La Garde.

La version papier est disponible sur le site de l’éditeur Librinova ICI

Photo PRESSE AGENCE.

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