Palmarès de l’EBG 2015 :Matooma élue meilleure start-up française de l’Internet des Objets !

Les lauréats du Top 10 se voient offrir le privilège de faire un discours devant l’Assemblée Générale de l’EBG composée de 1200 décideurs du numérique.

C’est ainsi que Frédéric Salles, Président de la société Matooma, s’est exprimé devant ce public d’exception, dont Emmanuel Macron, Ministre de l’Economie, et les Présidents d’Axa, d’Accor, de Criteo, Google France, Microsoft France, et LVMH, pour ne citer qu’eux, faisaient également partie.

Un succès croissant et ininterrompu que l’EBG a souhaité récompenser

Depuis sa création, de multiples Prix et Trophées ne cessent d’être décernés à la société Matooma. Convié par Matignon pour participer au « Jeudigital » fin 2014 et fraîchement labellisé « Pass French Tech », c’est avec joie que Frédéric Salles a représenté Matooma hier soir et s’est vu remettre le prix de la meilleure start-up pour la catégorie Internet des Objets.

En à peine 3 ans, la société, qui occupe une place prépondérante sur le marché des objets connectés, s’est développée de manière exponentielle et vient même d’ouvrir une filiale à New-York pour gérer ses contrats nord-américains. L’offre de Matooma, complète et qualitative, répond aux attentes des industriels.

La journée de remise de prix : un networking original et un public d’exception

Premier réseau d’affaires digital en Europe, l’EBG tient une réputation d’excellence de par la qualité de ses 665 entreprises adhérentes. Chaque année, il sélectionne les 100 entrepreneurs français les plus innovants et leur permet ainsi, au-delà de cette nomination gratifiante, de participer à une grande journée de remise des prix pendant laquelle ils bénéficient d’un temps de networking original, en changeant à 6 reprises de tables pour maximiser la prise de contacts.

Frédéric Salles, Président de Matooma, revient sur cette journée : « Aujourd’hui, Matooma fait partie des 10 entreprises les plus innovantes à l’échelle nationale (EBG 2015) sur le marché très porteur de l’IOT. Nous devons maintenant accélérer la cadence pour imposer Matooma sur la scène internationale et devenir l’un des leaders mondiaux. »