Team Côte d'Azur, l'équipe

Team Côte d’Azur, l’équipe qui optimise les compétences de chacun

La présence, le 18 octobre 2011, du Président de la République, Nicolas Sarkozy sur le chantier de Nice Stadium a été du pain béni pour l’image du territoire explique le Président de Team Côte d’Azur « Un large écho médiatique a été fait sur les importantes opérations en cours dont les investissements immobiliers. »

C’est dire que l’Agence de promotion économique de la Côte d’Azur a pour but d’attirer les investisseurs sur la Côte d’Azur envers lesquels elle agit comme un bon père de famille qui veille au grain pour sa progéniture, lui apporte un cocon pour mieux s’épanouir. Bernard Kleynhoff, président de la CCI précise : « Notre cœur de métier, c’est accompagner le créateur avec une offre de services individuels et collectifs adaptée à l’évolution de l’entreprise et à la construction des projets. »

C’est dire qu’ainsi, depuis 2005, Team Côte d’Azur séduit les investisseurs en provenance de l’Hexagone (43% des implantations), de l’Europe (44% dont le Royaume Uni, l’Allemagne et l’Italie), de l’Amérique du Nord avec en tête les Etats-Unis et le Canada, l’Asie 5%.
Jean-Pierre Mascarelli, Président de Team Côte d’Azur annonce : « Les Alpes-Maritimes ont attiré 30 nouvelles décisions d’investissement l’an dernier, soit 96 millions d’euros programmés sur trois ans. ». La société allemande Arwe s’affiche comme l’un des premiers de la classe, avec un investissement de 2 millions d’euros, et moyennant des équipements innovants de stations de lavage et nettoyage. L’aéroport de Nice offre, depuis, l’un des centres les plus modernes de location de voitures au niveau européen. Les équipes d’Arwe (140 personnes recrutées en juin) ont, cet été en période de pointe, été capables de prendre en charge 120 à 160 véhicules par heure, soit 1600 par jour avec un contrôle électronique de la pression des pneus et la saisie numérique de tous les mouvements. Fort de ce succès, Arwe va reproduire ce système à l’aéroport de Roissy puis dans d’autres pays d’Europe.

Cependant, il ne faut pas nier la concurrence venue d’ailleurs notamment de Bangalore, l’Inde s’affiche, en effet, comme la nouvelle Silicon Valley dans le secteur de l’informatique et des télécommunications.
La crise financière jette aussi de l’ombre sur l’aura économique de la Côte d’Azur : « C’est net, les grands groupes sont absents des investissements, il y a beaucoup plus de PME étrangères, la taille des entreprises est deux fois plus petite qu’auparavant et leur développement se fait avec des moyens plus réduits. » relève encore Philippe Stefanini. Reste à agir en amont et préparer l’avenir notamment avec un voisin, l’école supérieure de commerce. L’EDHEC offre, en effet, une matière grise et un gisement de formation non négligeable. La Côte d’Azur se prépare encore des lendemains qui chantent !

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