Le dos au mur...

Le dos au mur...

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Quatorze heures, pas une de plus, pour constater qu’il ne pourrait pas gouverner comme un Premier ministre « normal ». L’équipe de Sébastien Lecornu a vécu ce que vivent les roses. Il s’est immédiatement piqué aux épines des oppositions, de droite et de gauche, et à l’intransigeance de LR et Bruno Retailleau en particulier, qui a rendu tout accord de gouvernement impossible. C’est là une grande responsabilité qui a été prise. D’ailleurs, les premiers signaux négatifs consécutifs à cette démission n’ont pas tardé, avec une dégringolade du CAC 40 et les taux d’emprunt de la France qui ont aussitôt dépassé ceux de l’Italie, jusqu’alors présentée à Paris comme une mauvaise fille, incapable de tenir les cordons de sa bourse. Les seuls qui se frottent les mains sont évidemment Jean-Luc (…)

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