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L’essentiel de l’actualité de ce lundi 8 janvier

Le covoiturage poursuit son développement

Charles Ange Ginésy, président du Département des Alpes-Maritimes, et Jean-Marc Rancurel, maire de Peillon, vice-président de la Communauté de communes du Pays des Paillons, vont inaugurer demain une aire de covoiturage. Cette nouvelle infrastructure offre 40 places de stationnement pour offrir une solution alternative de mobilité partagée aux trajets « domicile-travail » et ainsi fluidifier la circulation sur cet axe. Grâce à sa situation géographique, cette nouvelle aire de covoiturage s’intègre à un pôle multimodal, en se trouvant à quelques minutes à pied de la gare SNCF de Peillon, et en étant desservie par une ligne régulière de bus.

Poutine sans réelle concurrence

La Commission électorale russe a écarté à l’unanimité la candidature d’Ekaterina Duntsova à la présidentielle russe programmée en mars 2024. Pour se justifier, elle a argué d’erreurs dans les documents nécessaires à l’enregistrement de la candidate, une ancienne journaliste militant pour la démocratie, ce qui est un gros mot aux oreilles de Poutine qui brigue un nouveau mandat. Il faut croire que l’actuel maître du Kremlin a de son côté fourni tous les documents nécessaires... On est toujours sans nouvelles de son principal opposant, Alexeï Navalny perdu de vue depuis plusieurs jours.

Surveillance par drones : marche arrière du préfet

Dans dix communes des Alpes-Maritimes, pour surveiller des secteurs isolés ou sensibles, il n’est plus possible d’utiliser des drones pour pour pallier l’absence de caméras de vidéosurveillance comme cela avait été autorisé par arrêté préfectoral sur la période allant du 19 décembre au 15 janvier. Le préfet Hugues Moutouh est revenu sur cette autorisation accordée par l’État concernant Drap, La Trinité, Saint-André de la Roche, Carros, Gattières, La Gaude, Mouans-Sartoux, Valbonne, Vence et Peymeinade. L’arrêté avait été attaqué par la Ligue des droits de l’Homme et le Conseil d’État saisi.

Hubert Falco : rendez-vous en appel

Condamné pour « recel de détournement de fonds publics » en avril dernier, l’ancien maire de Toulon et président de la Métropole, Hubert Falco, sera jugé les 25 et 26 mars en appel à Aix-en-Provence. Il avait été condamné à cinq ans inéligibilité et trois ans de prison avec sursis pour une affaire dite « du frigo », pour des repas du soir et du week-end pris avec son épouse et préparés sur le compte du Département. «  Je n’ai jamais nié que je déjeunais à la cafétéria du conseil départemental quand je montais pour y travailler  » s’est défendu Hubert Falco, démentant fermement les accusations de repas préparés spécialement pour lui. Il espère faire réduire ou annuler sa peine inéligibilité, ce qui lui permettrait de se représenter aux prochaines municipales.

Vous le saurez aussi…

-  Dîner à l’Elysée hier soir entre le président et sa Première ministre dont les heures à Matignon seraient comptées, même si aucune indiscrétion n’a filtré de cette rencontre. Du nouveau d’ici mercredi pour le premier conseil des ministres de l’année ?
-  Antony Blinken fait actuellement sa quatrième tournée au Proche-Orient, où il craint des « métastases » du conflit selon ses dires.
- Drôle d’ambiance dans la famille Delon  : les enfants du patriarche se déchirent autour du monstre sacré du cinéma français, affaibli par l’âge et la maladie. Un déballage médiatique peu reluisant sur lequel se jettent les médias.
- Incroyable, c’est l’hiver, et la présentatrice météo de BFM-TV annonce des « températures glaciales » devant une carte de France où l’on peut lire entre – 2 et - 4 degrés sur le pays. Vous verrez que dans quelques jours on parlera de « vague de chaleur » lorsque le thermomètre affichera + 2 ou + 4...

Visuel de Une : Couvrez-vous cette semaine le retour de températures hivernales est annoncé DR

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