Monaco : un partenariat

Monaco : un partenariat renforcé en faveur de la baleine du musée des Confluences de Lyon

En visite à Lyon le 8 décembre 2016, S.A.S. le Prince Albert II de Monaco a souhaité visiter le musée des Confluences et assister à la signature de nouveaux engagements avec le Musée océanographique de Monaco.

LES DEUX INSTITUTIONS MUSÉALES ONT CHOISI DE RENFORCER LEUR PARTENARIAT PLURIANNUEL DE CINQ ANS, CONCLU EN FÉVRIER 2016

Leur nouvel engagement porte sur la restauration du squelette de baleine issue des collections lyonnaises, nécessaire au travail préparatoire de la prochaine exposition événement du Musée océanographique de Monaco.

Dès 2017, le musée des Confluences mettra à la disposition de l’artiste Philippe Pasqua le squelette remarquable d’une baleine de 16 mètres de long, bien connue des visiteurs de l’ancien musée Guimet d’Histoire naturelle.

L’artiste prendra en charge la restauration et la réalisation des moulages de l’intégralité de son squelette. Ce travail lui permettra de réaliser une œuvre monumentale, présentée lors de l’exposition Borderline, au musée océanographique à partir de mai 2017.

L’historique de ce partenariat

Dédiés à l’Art et à la Science, les deux établissements, dont la mission commune est de promouvoir la connaissance, transmettent l’histoire de la nature et celles des hommes à travers un récit qui suscite le plaisir du savoir et le goût de l’engagement. A Lyon, les visiteurs peuvent voir retracée toute l’aventure humaine des origines à nos jours ; à Monaco, ils découvrent les grandes clés de compréhension des océans et l’histoire de l’océanographique, née de la vision du prince humanisteAlbert Ier. Des deux côtés, une attention particulière est portée à la préservation des équilibres entre l’homme et l’environnement. Engagée depuis 2014, la coopération entre les deux musées porte sur la diffusion et l’étude des collections, ainsi que sur des projets de programmations communs.

Déjà en 2015 et 2016, le musée des Confluences et le Musée océanographique ont collaboré autour de l’exposition Taba Naba – Australie, Océanie, Arts des peuples de la mer, proposée à Monaco de mars à septembre 2016 et dont Hélène Lafont-Couturier était la commissaire générale associée. Mutualisant leurs ressources, les deux institutions muséales ont pu accueillir des artistes océaniens comme Alick Tipoti et ses danseurs, et réaliser des ateliers pédagogiques sur les thèmes des animaux d’Océanie.
Signe d’une collaboration renforcée, Hélène Lafont-Couturier, Directrice du musée des Confluences de Lyon, a accepté de rejoindre le conseil scientifique de l’Institut océanographique, apportant son expertise culturelle au domaine de la protection des océans.

Photo de Une - Signature de la convention de partenariat entre Hélène Lafont-Couturier, directrice du Musée des Confluences et Robert Calcagno, directeur général de l’Institut océanographique, en présence de S.A.S. le Prince Albert II de Monaco et de Georges Képénékian, Président de l’EPCC musée des Confluences et 1er Adjoint au Maire de Lyon – crédit Bertrand Stofleth, musée des Confluences.

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