#NDS2015 J - 2 avant l’ouverture du festival avec Beth Hart / Jimmy Cliff / Natalia Doco / Milky Chance / Maceo Parker / Yuri Buenaventura !

JEUDI 09 JUILLET

Beth Hart

Cette femme a un coffre... impressionnant. Sans compter qu’elle peut y ranger une guitare ET un piano ! Et que l’ensemble a traversé l’Atlantique pour venir jusqu’à nous. Née à Los Angeles, Beth Hart est dans son domaine ce que la Californie sait faire de meilleur, un phénomène de blues, rock et soul

Jimmy Cliff

Les tubes planétaires de Jimmy Cliff ont quelque chose d’inaltérable, et lui aussi ! Après plus de trente albums, il parvient inlassablement à faire bouger quatre générations réunies sur « Reggae Night ». Peut-être parce que ce pape du reggae ne se suffit pas de reggae pur, qu’il sait y marier des influences musicales très diverses sans les contrarier, et que ce sont là tous les ingrédients qui font une belle et longue vie de légende ! Jimmy Cliff a même été intronisé au Panthéon du Rock, et ce n’est pas un hasard...

VENDREDI 10 JUILLET

Natalia Doco

Le charme enlevé d’une mélodie qui sonne juste et gai, la voix claire d’une jolie argentine en guise d’interprète, que demander de mieux pour une douce soirée d’été ?..Una chica latina qui a du chien et du rythme.

Milky Chance

Un poil éraillée, un poil crooner, la voix de Clemens se cale sur sa guitare et le rythme de cocon électronique de Philipps fait le reste. En quelques notes, nos oreilles se familiarisent avec cet univers flegmatique, à l’esthétique soigné, un peu plus et l’on se retrouverait dans l’ambiance tamisée de l’underground berlinois. Pour vous convaincre réécoutez juste « Stolen Dance », vous verrez...

SAMEDI 11 JUILLET

Maceo Parker

L’histoire de Maceo Parker, c’est un peu le saxo et le funk mariés par Ray Charles dans une église de Kingston. Sauf que là, ça se passe à Vence ! En un swing comme en cent, les Nuits du Sud s’offrent là un bijou de cuivre au timbre de voix éclatant, aux allures funk rayonnantes... like a sax machine !

Yuri Buenaventura

Nul n’a pu oublier le « Ne me quitte pas » de Yuri Buenaventura, cette reprise audacieuse qui l’a fait connaître au grand public. Toujours très salsa et afro-caribéen bien-sûr, son dernier album « Historia de un amor » serait dit-il « la bande originale d’un film d’Almodovar par Sinatra ». Alors préparez vos pas et vos passes, mambo et rumba... Entouré de quelques uns des meilleurs musiciens de Puerto Rico, habité par cette intacte énergie bien à lui, Yuri nous invite à un aller simple pour l’univers salsa, en mode plus amoureux et caliente que jamais..

DIMANCHE 12 JUILLET

VENCE CULTURES / Salle des Meules - 20 euros

Avec Daby Touré, le wolof se frotte aux instruments occidentaux, les timbres subsahariens au français ou à l’anglais, tandis que se faufilent par-ci par-là quelques heureuses sonorités électro. Le chanteur, qui ne fait pas mentir le talent de sa famille (Touré Kunda) a côtoyé Oxmo Pucino, Little Axe ou encore Maxime Le Forestier et tissé ainsi un ouvrage à la fois personnel et universel, trés agréablement éclectique !